Un boeuf n’a pas plus de conscience qu’un arbre
Vous oubliez trop souvent que l’énergie a besoin d’énergie pour vivre et exister. Si on peut se passer de la viande, il est recommandé d’en manger. Nous, les Êtres de Lumière (et par conséquent Dieu) ne voyons aucun inconvénient à ce que vous mangiez de la viande, tant que celle-ci a été élevée dans les bonnes conditions.
Il faut arrêter de croire que les animaux ont plus de conscience qu’un arbre ou qu’une pierre. Tout a une conscience et il est bien dommageable de prêter plus d’attention à des animaux, parce qu’ils vous ressemblent. Vous y voyez votre propre humanité et c’est cela qui vous dégoûte.
Mais un porc élevé avec amour, qui aura goûté les verts pâturages, qui aura foulé de son pied les prairies ou les forêts sera plus comestible qu’une carotte élevée sous serre. Nous disons « élevée » car c’est comme cela que nous le voyons. Vous élevez vos carottes et vous les ramassez quand elles sont mûres, du moins quand elles sont prêtes à être mises ou envoyées en rayon.
Le tour du monde de la carotte
Le plus dommageable, ce n’est pas de consommer de la viande, si elle vient d’ici, de votre secteur, mais de faire faire le tour du monde à votre carotte. N’en avez-vous pas marre de consommer des produits fanés, cueillis à peine à maturité, qui finissent de mûrir dénaturés dans des camions ou des containers, et qui ne voient plus la lumière du jour pour vous donner les nutriments essentiels des derniers jours extrêmement importants dans leur fabrication ? Pour nous, vous mangez souvent des produits vides de saveurs et de vie.
Alors si nous réclamons quelque chose au niveau de votre nutrition, c’est peut-être plus de revenir à une alimentation locale, riche de saveurs, qui n’aura pas eu besoin de faire le tour de la planète pour arriver dans votre assiette. Il y a trop de végétariens qui croient bien faire mais qui polluent encore plus à manger des aliments qui viennent des quatre coins du monde. Quand comprendrez-vous que la nourriture doit venir d’un cercle fermé, d’un périmètre défini, et que si vous vous organisiez bien, vous pourriez retrouver bon nombre de produits que vous consommez aujourd’hui des autres pays ? Il n’y a besoin de faire venir une banane d’Equateur, on peut très bien faire pousser des bananes dans le sud de la France. Mais ça ne rapporterait pas assez aux lobbys. Et aujourd’hui, vous êtes prisonniers des lobbys.
Donc avant de vouloir arrêter de manger de la viande, qui n’est pas malsaine pour la santé, si on en mange avec parcimonie, c’est-à-dire quelques fois par semaine, -pas à tous les repas, ça ne sert à rien et surtout pas de viande congelée (on vous expliquera pourquoi après)-, vous feriez mieux d’arrêter de consommer des produits qui viennent des quatre coins de la planète. Car c’est plus cela dont la Terre souffre aujourd’hui : des exploitations mono-cultures qui tuent les sols et exploitent les hommes, qui ne sont plus que dans le rendement, au lieu d’être dans le plaisir de cultiver.
La permaculture : l’équilibre retrouvé
Heureusement pour nous (et pour vous), certains retrouvent la raison et reprennent le chemin de la permaculture en fabriquant des sols fertiles, sans utilisation d’engrais ou de pesticides (la Terre n’en a pas absolument pas besoin à la base pour produire, c’est une hérésie) et en diversifiant les cultures. La Terre a besoin de diversité. Avez-vous déjà vu une parcelle ou une forêt avec le même type d’arbres ou de végétaux ? Non, la diversité fait partie de l’équilibre de la nature et vous devez la respecter en essayant ce genre de culture à petite échelle. Vous vous rendrez compte qu’il vaut mieux produire petit mais de bonne qualité que gros et de qualité médiocre. Tout le monde y perd et vous aussi, en qualité nutritive. Car n’allez pas croire que ce que vous mangez dans vos assiettes soit toujours saint. Vous ne savez pas toujours ce qu’on a mis dedans. L’emploi des produits chimiques aux additifs ou colorants corrompt votre nourriture.
La qualité d’une carotte élevée sous serre n’est pas du tout la même que celle élevée en champ. Vous n’aurez pas les mêmes nutriments et le même ratio nutritionnel. Car la carotte pour rester sur cet exemple a besoin de la terre et du soleil. Ça nous semble aller contre-nature que de faire pousser des légumes hors-sol. Et ce n’est pas parce que vous avez la technologie pour le faire que c’est forcément bien. Vous tuez la nature et le principe de base de la vie à faire cela, puisque la vie doit s’adapter à son milieu. Les carottes ne seront plus capables de se protéger si elles ne sont élevées qu’en serre. Elles n’auront plus les moyens de se défendre et elles mourront. C’est très dangereux ce que vous faîtes en réalité, à croire que la nature a besoin de vous. Bien au contraire, la vie pousse mieux toute seule et s’il faut veiller aux prédateurs, et encore que, n’est-ce pas le cycle naturel ? Certaines carottes devront périr pour le bon cycle de la biodiversité, comme quelques zébus doivent crouler sous les griffes des lion(ne)s). C’est donc le cycle naturel de la vie et vous vous y opposez en sortant ces carottes de leur milieu. Nous n’aimons pas les cultures hors-sol jugées déraisonnables et contre-nature.
Or, les tomates que vous achetez en supermarché viennent souvent de ces cultures hors-sol. Qui peut prétendre savoir d’où vient sa tomate à part celui qui la cultive lui-même ou qui l’achète à son maraîcher du coin ?
Et c’est pareil pour la viande, ne vous contentez pas de savoir d’où elle vient. L’origine France n’est pas un gage de qualité, bien au contraire. Souvent, elles renferment des exploitations à gros volumes, des animaux conditionnés et maltraités, qui n’auront connu que la main de l’homme pour les piquer, ou les tuer à l’abattoir, ni le soleil – le soleil étant une énergie vitale indispensable à la croissance de la vie. Ce ne sont pas vos lampes UV qui remplacent l’énergie du soleil. Vos scientifiques ne s’arrêtent qu’à des spectres mais l’énergie du soleil est bien plus que cela en vérité sur d’autres plans. Mais encore une fois à ne croire qu’il n’y a que le plan physique, vous vous limitez et vous réduisez votre conception des choses en faisant de grossières erreurs d’appréciation. Le soleil n’est pas indispensable à la croissance de ces animaux mais essentielle en qualité nutritive. Et c’est là où nous allons revenir sur cette histoire de congélation, qui dénature totalement vos produits. Pour nous, c’est une hérésie de congeler vos aliments frais. Quel intérêt ? Ne vaut-il pas mieux les manger frais et profiter de toutes leurs saveurs ? Vous savez très bien qu’un produit congelé n’a pas la même saveur et pour cause, vous stoppez la vie, et même si vous la réveillez par des méthodes plus ou moins douces (le micro-ondes est à bannir dans ce cas), ce n’est plus pareil du tout, les molécules ne sont plus les mêmes -ce serait trop long de vous expliquer pourquoi-.
En résumé
Dieu n’a jamais interdit de manger de la viande. Par contre, il ne tolère pas vos procédés de fabrication à grande échelle, dans des usines où ces animaux ne reçoivent ni amour, ni soleil. La qualité nutritive et énergétique tient aussi dans ces deux paramètres que vous oubliez souvent : l’amour et l’énergie solaire, qui en contient aussi. Alors si vous souhaitez arrêter de manger de la viande, à cause de ces machines à produire, n’oubliez pas que pour les légumes, c’est pareil et qu’il vaut mieux manger un bon steak issu d’un petit producteur (local) que des légumes dénaturés, qui n’auront connu ni le sol, ni le soleil.